Risques des fonds

Risques liés aux investissements en Actions

Risque en capital : la fonds ne bénéficie d’aucune garantie ni protection, il se peut donc que  le capital initialement investi ne soit pas intégralement restitué.

Risque lié à la gestion discrétionnaire : la performance du fonds dépend à la fois des titres et stratégies choisis par le gérant et à la fois de l’allocation d’actifs faite par ce dernier. Il existe donc un risque que le gérant ne sélectionne pas les titres et stratégies les plus performants et que l’allocation faite entre les différents marchés ne soit pas optimale et donc que la valeur liquidative baisse.

Risque actions : l’investisseur est exposé sur le risque actions. En effet, la variation du cours des actions peut avoir un impact négatif sur la valeur liquidative du fonds. En période de baisse du marché des actions, la valeur liquidative est susceptible de baisser. En outre sur les marchés de petites et moyennes capitalisations, le volume des titres cotés en bourse est réduit, les mouvements de marchés sont donc plus marqués à la baisse et plus rapides que sur les grandes capitalisations. La valeur liquidative du fonds peut donc baisser rapidement et fortement.

Risque de change : le fonds peut investir dans des titres  eux-mêmes autorisés à acquérir des valeurs libellées dans des devises étrangères hors zone euro. La valeur de ces titres peut baisser si les taux de change varient, ce qui peut entraîner une baisse de la valeur liquidative du fonds.

Risque sur instruments dérivés : le fonds peut s’exposer sous forme synthétique à des instruments de taux et/ou d’indices jusqu’à une fois son actif net. L’utilisation des produits dérivés sur marchés organisés et de gré à gré peut exposer la valeur liquidative à des variations dues aux fluctuations des marchés des sous-jacents.

Risque de taux : le risque de taux est le risque de variation des taux d’intérêt qui a un impact sur les marchés obligataires. A titre d’exemple, le prix d’une obligation tend à évoluer dans le sens inverse des taux d’intérêt. En cas de hausse des taux, la valeur liquidative du fonds pourra baisser.

Risques liés aux investissements en Obligations

Risque de perte en capital :  risque que le capital investi ne soit pas intégralement restitué, le fonds ne bénéficiant d’aucune garantie ni protection du capital. L’investisseur est donc averti qu’il n’est pas assuré de retrouver le capital initialement investi.

Risque de taux : risque d’une baisse de la valeur des actifs, et donc du portefeuille, provoquée par une variation des taux d’intérêts. Du fait des bornes de la fourchette de sensibilité, la valeur de cette composante du portefeuille est susceptible de baisser, soit en cas de hausse des taux si la sensibilité du portefeuille est positive, soit en cas de baisse des taux si la sensibilité du portefeuille est négative.

Risque de crédit : le risque de crédit est le risque que l’emprunteur ne rembourse pas sa dette ou ne puisse payer les coupons durant la vie du titre. Risque d’une baisse de la valeur des actifs, et donc du portefeuille, provoquée par une variation de la qualité de crédit des émetteurs ou par la variation des « spreads » de crédit.

Risque sur titres contingents ou subordonnés : le fonds peut être exposé sur des titres contingents ou subordonnés. Les dettes subordonnées et les obligations Convertibles contingentes sont soumises à des risques spécifiques de non-paiement des coupons et de perte en capital selon certaines circonstances. Selon un certain seuil de solvabilité, appelé « trigger », l’émetteur peut ou doit suspendre le versement de ses Coupns et / ou réduire le nominal du titre ou convertir ces obligations en actions.
Nonobstant les seuils définis dans les prospectus d’émissions, les autorités de Tutelle ont la possibilité d’appliquer de façon préventive ces règles si les circonstances l’exigent selon un seuil subjectif appelé « point de non-viabilité ». Ces titres exposent les détenteurs à une perte totale ou partielle de leurs investissements à la suite de leur conversion en actions à un prix prédéterminé ou à  l’application d’une décote prévue contractuellement dans les termes du prospectus d’émission, ou appliquée de façon arbitraire par une autorité de tutelle. Ces titres exposent également leurs détenteurs à des fluctuations.
Potentiellement importantes de cours en cas de situation d’insuffisance de fonds propres ou de difficultés de l’émetteur.

Risque de change : le fonds peut investir dans des titres et stratégies eux-mêmes autorisés à acquérir des valeurs libellées dans des devises étrangères hors zone euro. La valeur de ces actifs peut baisser selon l’évolution des taux de change.

Risque de liquidité : il représente le risque qu’un marché financier, lorsque les volumes d’échanges sont faibles ou en cas de tensions sur les marchés, ne puisse absorber les volumes de ventes (ou d’achats) qu’en faisant baisser (ou monter) significativement le prix des actifs, avec pour conséquence une possible baisse de la valeur liquidative du fonds.

Risque actions : l’investisseur est exposé sur le risque actions. En effet, la variation du cours des actions peut avoir un impact négatif sur la valeur liquidative de la stratégie. En période de baisse du marché des actions, la valeur liquidative baissera.

Risque de contrepartie : le risque de contrepartie est lié à l’utilisation de produits de gré à gré. Le fonds est exposé au risque de non-paiement ou livraison par la contrepartie avec laquelle l’opération est négociée. Ce risque peut se matérialiser par une baisse de la valeur liquidative du fonds.

Risque lié aux interventions sur les marchés à terme : l’utilisation d’instruments dérivés peut exposer à une variation à la hausse ou à la baisse de la valeur liquidative du fonds.

Risques liés aux investissements en Obligations Convertibles

Risque de perte en capital : risque que le capital investi ne soit pas intégralement restitué, la stratégie ne bénéficiant d’aucune garantie ni protection. Ce risque se matérialise par une baisse de la valeur liquidative dans un tel cas, un actionnaire n’est pas assuré de retrouver le capital initialement investi. Le recours aux emprunts d’espèces jusqu’à 10% de l’actif net est susceptible d’accentuer le risque de performance et le risque de perte en capital.

Risque actions : la sensibilité aux variations des marchés actions peut générer des variations importantes de la valeur liquidative. En cas de baisse des marchés actions, la valeur liquidative de la stratégie est susceptible de baisser.

Risque de taux : le risque de taux est le risque de variation des taux d’intérêt qui a un impact sur les marchés obligataires. A titre d’exemple, le prix d’une obligation tend à évoluer dans le sens inverse des taux d’intérêt. En cas de hausse des taux, la valeur liquidative de la stratégie pourra baisser.

Risque de crédit : l’émetteur d’un titre obligataire peut être amené à faire défaut. Ainsi cette défaillance pourra faire baisser la valeur liquidative de la stratégie. Même dans le cas où aucun émetteur ne fait défaut, les variations des marges de crédit peuvent conduire la performance à être négative. Ces risques sont d’autant plus importants que la qualité de crédit de l’émetteur est basse, qu’il s’agisse d’émetteurs de la catégorie spéculative / high yield et / ou liés à des marchés émergents. La baisse de la valeur liquidative pourra être d’autant plus importante que la stratégie sera investie dans des dettes non notées ou relevant de la catégorie spéculative / high yield » ou dans des dettes liées aux marchés des pays émergents.

Risque lié à l’investissement dans des titres à haut rendement : cette stratégie doit être considérée comme en partie spéculatif et s’adressant plus particulièrement à des investisseurs conscients des risques inhérents aux investissements dans des titres dont la notation est basse ou inexistante. Ainsi, l’utilisation des titres spéculative/ high yield peut entraîner une baisse significative de la valeur liquidative.

Risque de change : l’investissement sur le marché des taux des pays hors zone euro génère une exposition au risque de change et peut induire une volatilité plus importante.

Risque de volatilité : compte tenu de la composante optionnelle que recèle les titres, les variations de volatilité, composante principale du prix de l’option, peuvent entraîner une baisse de la valeur liquidative de la stratégie pendant une période non définie.

Risque sur instruments dérivés : le fonds peut s’exposer sous forme synthétique à des instruments de taux et/ou d’indices jusqu’à une fois son actif net. L’utilisation des produits dérivés sur marchés organisés et de gré à gré peut exposer la valeur liquidative à des variations dues aux fluctuations des marchés des sous-jacents.

Risque de contrepartie : il s’agit du risque lié à l’utilisation d’instruments financiers à terme, de gré à gré, et/ou au recours à des opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres. Ces opérations conclues avec une ou plusieurs contreparties éligibles,  exposent potentiellement la stratégie à un risque de défaillance de l’une de ces contreparties pouvant la conduire à un défaut de paiement.

Risque sur les marchés émergents : les principaux risques liés aux investissements dans des pays émergents peuvent être le fait du fort mouvement des cours des titres et des devises de ces pays, d’une éventuelle instabilité politique et de l’existence de pratiques comptables et financières moins rigoureuses que celles des pays développés. En cas de baisse de ces marchés, la valeur liquidative pourra diminuer.

Risque lié à la détention d’obligations convertibles : la valeur des obligations convertibles dépend de plusieurs facteurs : niveau des taux d’intérêt, évolution du prix des actions sous jacentes, évolution du prix du dérivé intégré dans l’obligation convertible. Ces différents éléments peuvent entraîner une baisse de la valeur liquidative.

Risque lié à la gestion discrétionnaire et à l’allocation d’actifs : la performance dépend à la fois des titres choisis par le gérant et à la fois de l’allocation d’actifs faite par ce dernier. Il existe donc un risque que le gérant ne sélectionne pas les plus performants et que l’allocation faite ne soit pas optimale.

Risques liés aux investissements en actifs diversifiés

Risque de perte en capital : risque que le capital investi ne soit pas intégralement restitué, le fonds ne bénéficiant d’aucune garantie ni protection. Ce risque se matérialise par une baisse de la valeur liquidative dans un tel cas, un actionnaire n’est pas assuré de retrouver le capital initialement investi. Le recours aux emprunts d’espèces jusqu’à 10% de l’actif net est susceptible d’accentuer le risque de performance et le risque de perte en capital.

Risque actions : la sensibilité aux variations des marchés actions peut générer des variations importantes de la valeur liquidative. En cas de baisse des marchés actions, la valeur liquidative est susceptible de baisser.

Risque de taux : le risque de taux est le risque de variation des taux d’intérêt qui a un impact sur les marchés obligataires. A titre d’exemple, le prix d’une obligation tend à évoluer dans le sens inverse des taux d’intérêt. En cas de hausse des taux, la valeur liquidative pourra baisser.

Risque de crédit : l’émetteur d’un titre obligataire peut être amené à faire défaut. Ainsi cette défaillance pourra faire baisser la valeur liquidative. Même dans le cas où aucun émetteur ne fait défaut, les variations des marges de crédit peuvent conduire la performance à être négative. Ces risques sont d’autant plus importants que la qualité de crédit de l’émetteur est basse, qu’il s’agisse d’émetteurs de la catégorie spéculative / high yield et / ou liés à des marchés émergents. La baisse de la valeur liquidative pourra être d’autant plus importante que la stratégie sera investie dans des dettes non notées ou relevant de la catégorie spéculative / high yield » ou dans des dettes liées aux marchés des pays émergents.

Risque lié à l’investissement dans des titres à haut rendement :  l’utilisation des titres spéculative/ high yield peut entraîner une baisse significative de la valeur liquidative.

Risque de change : l’investissement sur le marché des taux des pays hors zone euro génère une exposition au risque de change et peut induire une volatilité plus importante.

Risque de volatilité : compte tenu de la composante optionnelle que recèle les titres, les variations de volatilité, composante principale du prix de l’option, peuvent entraîner une baisse de la valeur liquidative pendant une période non définie.

Risque sur instruments dérivés : le fonds peut s’exposer sous forme synthétique à des instruments de taux et/ou d’indices jusqu’à une fois son actif net. L’utilisation des produits dérivés sur marchés organisés et de gré à gré peut exposer la valeur liquidative à des variations dues aux fluctuations des marchés des sous-jacents.

Risque de contrepartie : il s’agit du risque lié à l’utilisation d’instruments financiers à terme, de gré à gré, et/ou au recours à des opérations d’acquisitions et de cessions temporaires de titres. Ces opérations conclues avec une ou plusieurs contreparties éligibles, exposent potentiellement le fonds à un risque de défaillance de l’une de ces contreparties pouvant la conduire à un défaut de paiement.

Risque sur les marchés émergents : les principaux risques liés aux investissements dans des pays émergents peuvent être le fait du fort mouvement des cours des titres et des devises de ces pays, d’une éventuelle instabilité politique et de l’existence de pratiques comptables et financières moins rigoureuses que celles des pays développés. En cas de baisse de ces marchés, la valeur liquidative pourra diminuer.

Risque lié à la détention d’obligations convertibles : la valeur des obligations convertibles dépend de plusieurs facteurs : niveau des taux d’intérêt, évolution du prix des actions sous jacentes, évolution du prix du dérivé intégré dans l’obligation convertible. Ces différents éléments peuvent entraîner une baisse de la valeur liquidative.

Risque lié à la gestion discrétionnaire et à l’allocation d’actifs : la performance de la stratégie dépend à la fois des titres choisis par le gérant et à la fois de l’allocation d’actifs faite par ce dernier. Il existe donc un risque que le gérant ne sélectionne pas les plus performants et que l’allocation faite ne soit pas optimale